La sécurité des salariés et des visiteurs sur le lieu de travail est l’une des plus grandes priorités d’un responsable, en premier lieu le chef d’entreprise. C’est un principe universel en France, quel que soit le secteur d’activité ou le nombre de personnes sur site. La réglementation encadre ainsi la sécurité en précisant notamment les moyens de communiquer en ce qui concerne la prévention des risques. Lorsqu’un salarié est recruté, il est obligatoire de lui faire prendre connaissance du règlement intérieur, ainsi que par exemple l’emplacement du rassemblement extérieur du personnel en cas d’incendie. Tout le monde se rappelle ainsi que le panneau signalétique pour cet endroit est de forme carrée, de couleur verte avec un liseré blanc, avec comme pictogramme plusieurs personnes rassemblées.
C’est cela, le langage universel pour la sécurité en collectivité. Cela ne concerne bien entendu pas uniquement ce qui est informatif, mais aussi les interdictions, recommandations, rappels et autres comportements à adopter dans des cas précis. Dans notre article, nous allons voir justement en quoi la signalétique (surtout pour les interdictions) est primordiale dans une entreprise, par le biais de plusieurs exemples concrets.
Les panneaux pour interdire
Prévenir, c’est guérir. Cette maxime populaire se vérifie en entreprise, où les risques d’accidents plus ou moins graves sont parfois statistiquement plus fréquents que dans la vie de tous les jours. C’est le cas dans la plupart des entrepôts, avec les activités de manutention de charges lourdes ou de produits potentiellement dangereux. La signalétique des interdictions peuvent comprendre ce qui n’est pas à faire, ou là où il ne faut pas aller. Comme on peut le voir sur ce site https://www.seton.fr/panneaux-pictogrammes/panneaux-interdiction-pictogrammes-interdiction, les panneaux de cette catégorie ont tous la même logique graphique : un fond blanc cerclé de rouge et barré, avec des pictogrammes de couleur noire. Pour ceux qui ont leur permis ou du moins qui ont passé leur code, la logique est exactement la même que dans la sécurité routière, ce qui n’est bien évidemment pas un hasard. Il s’agit d’identifier en un coup d’œil, par réflexe, ce à quoi on a affaire comme type de message. Pour donner quelques exemples de panneaux d’interdictions, nous avons principalement :
- Interdiction aux personnes non autorisées,
- Interdiction aux piétons dans la zone,
- Interdiction de marcher sur une surface préalablement spécifiée,
- Sens interdit,
- Interdiction d’entrer,
- Interdiction de fumer ou de vapoter,
- Etc.
Les pictogrammes sont ainsi la principale différence qui permet de distinguer les panneaux d’interdiction. Il faut aussi retenir que l’on ne trouve pas forcément que des panneaux classiques sur piquet : l’information peut se présenter sous plusieurs formes. Il y a même des autocollants qui peuvent servir à indiquer le message placé sur une marchandise dans un entrepôt, ou bien sous forme de trépieds pour indiquer une zone interdite au sol pour une durée temporaire. Pour conclure, on peut évoquer en dernier qu’il peut y avoir des nécessités spécifiques dépendant du moment de la journée : lorsqu’il fait nuit, il est important d’avoir une signalétique réfléchissante. Cela peut aussi servir en journée en cas de panne de l’installation lumineuse dans un entrepôt.
